Dives in 50s
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 Je veux un câlin... ft Ollie :3.

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Logan k. Draygs

Logan k. Draygs


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MessageSujet: Je veux un câlin... ft Ollie :3.   Je veux un câlin... ft Ollie :3. EmptyDim 9 Aoû - 12:36

    J’en ai marre, j’ai mal partout, j’ai un œil au beurre noir, j’ai pleins de bleus partout partout, et encore, c’est même pas des bleus, il y en a qui sont jaunes ou verts, c’est dégoûtant. En plus je suis plus du tout coiffé, je ressemble plus à rien, j’ai le crayon qui est à moitié partit & j’ai des énormes cernes parce que j’ai pas pu fermer l’œil de la nuit de peur de revoir des voyous. En plus mon t-shirt de Jim il est tout sale & moi je renifle tellement que l’on pourrait me sentir à des kilomètres à la ronde. J’ai pas un sous, je crève la dalle, je crois que si je mange pas dans les minutes qui suive je vais m’évanouir & j’ai une énorme envie de câlin, sauf que ici je connaît personne & que si je fais un câlin à un ou une inconnu(e) les gens vont me regarder d’une façon que j’aimerais pas & il me poursuivrons sûrement avec des seringues pour prendre mon sang & après y me mangerons & donneront mes cheveux aux hippies. Oui mon hypothèse est complètement absurde mais je m’en fiche, en plus de ça je suis en manque, de quoi ? De tout ce que vous voulez, enfin, c’est surtout que je n’ai pas eu ma dose de la journée & que si je ne l’ai pas, si on ne me fait pas de câlin & bah je vais exploser & frapper tout le monde. Oui j’en suis capable, vous avez qu’à demander à ceux de ma classe, enfin mon ancienne. En plein cours j’ai débloqué, j’ai eu une énorme crise & j’ai pas arrêté de taper mon voisin, il avait l’épaule gauche toute bleue le lendemain. Quant on m’a demandé ce qu’il c’était passé, j’ai bêtement répondu qu’il m’avais traité de tapette… Il est gay. & tout le monde le savait, donc, ça ne marchait pas trop le fait qu’un gay traite un bisexuel de tapette… Surtout quand une semaine après il devient votre copain. Mais bon, il m’a excusé, & puis il savait très bien pourquoi je l’ai tapé alors. Les autres, ils n’ont jamais compris. Enfin bref. A pars ça, j’étais complètement perdu dans la ville où j’avais vécu plus de la moitié de ma vie. Je ne reconnaissais rien, je ne pourrais même pas retrouver la maison de ma grand-mère ! Ou peut être que si, elle était près du parc. LE PARC ! Peut être que lui il n’avait pas changé ?! Subitement je me mettais à courir le plus vite que je pouvais dans la direction qui me semblait être la bonne pour aller à celui-ci. Encore une fois, plusieurs personnes me dévisageaient lorsque je passais à côté d’eux, comme si j’étais un martien, c’était très agréable… En tout cas, j’espérais de tout cœur que le parc n’ai pas trop changé.

    Enfin arrivé devant celui-ci, j’eus un léger pincement au cœur, non il n’avait pas trop changé, c’était juste que mes souvenirs remontaient à la surface. Chaque jours je retrouvais mes amis ici, ont fumaient, buvaient, rigolaient à gorge déployaient, on se fichaient bien du regard des gens, en même temps il nous ressemblaient beaucoup. & surtout, surtout, ils n’étaient pas homophobes comme dans les années 50. Il y en avait quelques uns, certes mais pas énormément non plus… Oh non. & si mes amis étaient tous morts ? Si eux ils n’avaient pas survécus au tremblement de terre ? Si ils n’étaient pas venus dans les années 50 ? MAIS NON CE N’EST PAS POSSIBLE ! Jamais plus je n’aurais de câlin & de bisous de Ollie ? Ollie, qu’est ce qu’il était gentil lui… & puis il faisait pleins pleins de câlins ! Si ce n’était pas à Benjamin, c’était forcément à moi qu’il les faisait, & vu qu’il le repoussait souvent, j’avais souvent des câlins moi. Je crois que dans le groupe, quand il y avait Ollie, j’étais & je suis encore, le seul à aimer ces câlins & même, quelques fois à les lui demander. Parce que lui, il a était là quand mes parents sont morts. C’est sur son épaule à lui que j’ai pleuré. & il est un des rares à connaître mon prénom & mon nom. Je baissais alors doucement la tête et m’avançais vers un banc… vide. Sans m’en rendre compte je m’étais assis sur le banc d’où j’étais tombé le jour du tremblement. L’instant de quelques minutes, j’avais le regard complètement vide mais posé sur un énorme sandwich pas encore attaqué par un couple, couple qui était entrain de se bécoter, hum, ravissant. Lorsque enfin je remarquais le sandwich, j’eus l’impression que mon estomac rugissait. Mon visage passa de blanc à légèrement rose. Oui j’avais honte, ça arrive à tout le monde. Je ne m’en rendais pas compte, mais tout en bloquant sur le sandwich, ma bouche était grande ouverte & laissait apparaître de la bave… Le couple me fixa avec de grands yeux, quasi terrifiés par mon visage. Enfaîte ils n’étaient qu’à 5mètres de moi. À ce moment là, la femme attrapa le sandwich, se leva, s’approcha très doucement de moi & le posa à mes pieds, puis elle s’éloigna vite, rejoignant les bras de son mari & attrapant un autre sandwich qu’elle garda cette fois pour elle. J’esquissais un énorme sourire, mes yeux pétillaient de joie. D’une voix des plus naturelle & douce aussi, pour lui montrer que je n’étais pas un monstre, je lâchais doucement.
    « Merci mademoiselle, merci beaucoup, sans vous je crois que je serais mort. »
    J’attrapais donc très rapidement le sandwich & l’emmenait à ma bouche, en une dizaine de minutes il était déjà finit & moi je n’avais plus faim. Par contre soif, ça oui c’est sûr. Je réfléchissais un instant au fait que j’ai une incroyable envie de fumer. Je passais ma main dans ma poche &… Oh miracle, il y avait un paquet ! Par contre, la qualité avait nettement changée. Ce n’était plus trop le même paquet. Donc selon ce qu’on possédait en venant du futur, cela pouvait changer en fonction de aujourd’hui ? Donc… Je n’ai plus de portable. Gosh, ça c’est dur par contre. &… Mon iPod ? Je crois que je peux l’oublier… Je sortais discrètement une cigarette de la boîte. Ah oui, il ne m’en restait qu’une… Bon tant pis, & mais… Je n’ai plus mon briquet ! Alors ça, non mais ça, c’est pas cool. Désespéré je reposait le paquet dans ma poche et me couchait sur le banc. J’avais la gorge extrêmement sèche, j’avais envie de boire, de fumer, & surtout, j’étais en manque de câlins.
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Oliver D. Ferguson

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MessageSujet: Re: Je veux un câlin... ft Ollie :3.   Je veux un câlin... ft Ollie :3. EmptyLun 10 Aoû - 13:34

    Bon, les lits des années cinquante étaient pas géniaux quand même. Trop dur, on avait juste l’impression de dormir par terre. Moi j’aimais les matelas tout mous dans lesquels on s’enfonce bien, voyez. Enfin, j’allais pas me plaindre encore. Même si c’était mon habitude préférée. Là, je devais bien avouer que j’avais eu de la chance. Tomber sur cette gentille fille, Madison, et que ses parents acceptent de nous héberger Benji et moi, c’était tout ce qu’on pouvait rêver de mieux quand on s’était perdu dans une autre époque. C’est sûr, en un jour, j’étais pas encore très à l’aise chez les fifties et ils me faisaient un peu flipper. Mais savoir qu’il y avait des gens comme Mady me rassurait légèrement. Et puis la présence de Benjamin, ça, c’était complètement rassurant. Par contre, je me demandais franchement ce qui était arrivé à ma famille et à mes autres amis. Je m’inquiétais, et fallait dire que c’était tout à fait normal. Après tout, ce qui m’avait mené ici, c’était bien un tremblement de terre. Et tout le monde ne survivait pas à ces secousses, surtout quand celles-ci étaient aussi violentes que celles qui avaient précédé mon retour dans le passé. Me levant tout doucement, j’allais prendre une douche. Ce qui servait de douche ressemblait pas trop à ce qu’il y avait dans les salles de bains de la villa Ferguson, mais j’étais bien obligé de me contenter de ça. Le pire fut sans doute de devoir enfiler ces ersatz de la mode que Mady m’avait prêté. Ces vêtements appartenaient à son cousin, m’avait-elle dit. J’en concluais instantanément que son cousin n’était pas du genre à passer sa vie dans les magasins. Ce qui était plutôt mon cas, comme vous pouvez l’imaginer. Mais bon, au moins, j’étais certain de passer inaperçu là-dedans, contrairement à mon T-shirt décoré du logo de Nirvana, les membres du groupe n’étant même pas encore nés, en fait.

    Une fois habillé, je décidai d’aller prendre l’air un peu. J’oubliai le petit déjeuner, je n’avais pas très faim, et puis je venais de remarquer que Ben avait disparu de la circulation. C’était pas gentil de m’abandonner. Enfin. Sortant de la maison des Carwell, je ne réussis pas immédiatement à me repérer. Déjà que j’avais du mal en 2009, c’était très compliqué de s’y retrouver lorsque la ville avait rajeuni d’un lustre. Je marchai lentement, en prenant bien soin de mémoriser les noms des rues que je longeais, même si c’était sans espoir. Je savais que je ne m’en souviendrais plus d’un seul dans exactement cinq minutes. Je ne parvenais jamais à retenir des trucs qui me semblaient inutiles. Mon sens de l’orientation était tellement mauvais, de toute manière, que j’étais capable de me perdre même en connaissant les lieux qui étaient sur mon chemin. Oh, un parc ! Ah oui, c’était le même que dans le futur. J’y jouais avec ma sœur quand j’étais tout petit, avant qu’elle ne me haïsse. Plus tard, ce fut avec mes amis chéris que je m’y rendais. On faisait trop n’importe quoi, et on avait toujours droit aux regards réprobateurs des vieillards qui se promenaient par là. Mais ça risquait plus de se produire, vu comme j’étais bien parti pour rester bloqué en 1950 jusqu’à la fin de mes jours. Cependant, moi, tant que Benjamin était avec moi, j’étais heureux. Le problème, c’était plutôt les principes des habitants des fifties, qui étaient pas très tolérants envers les gays. Du coup, j’allais me taire là-dessus et me garder d’en toucher un mot à Mady et sa famille. D’ailleurs, ses parents étaient des religieux comme on en trouvait plus au vingt-et-unième siècle. C’était paniquant, pour tout vous dire.

    J’entrai dans le parc tranquillement, sans trop me soucier des autres personnes. En plus, les visages ne se tournaient plus automatiquement vers moi, contrairement à la veille. Je me sentais mieux ainsi, de plus être le centre d’attention et de me faire fixer comme si j’étais un extra-terrestre venu de Pluton. Il suffisait de porter des horreur et on vous acceptait dans la société, n’importe quoi, sérieusement. J’observais les gens discrètement tout de même, histoire de vérifier s’il n’y avait pas quelqu’un de familier. A un moment, je croisai un SDF avec un chandail de Jim Morrison. Il avait l’air mal en point mais je pouvais pas vraiment l’inviter chez les Carwell, ils allaient se sentir envahis les pauvres gens. Alors que j’avais continué ma route tranquillement, un truc me frappa un peu. 1954. Jim était né, certes, mais il devait avoir dix ans, tout au plus. Pas assez encore pour paraître sur les T-shirts. Je reculai de trois pas, jetant un œil au jeune homme, je compris vite que je le connaissais. Même si d’habitude il était beaucoup plus joli à voir. Donc, je m’en rapprochai, pour définitivement mettre un nom sur ce visage, et ce dont j’avais le plus peur, c’était ça. C’était bien Logan. Mais Logan avec des bleus partout, partout, Logan qui sentait pas bon, Logan qui ressemblait pas à Logan, quoi. Hey ! Y’avait de quoi faire une crise cardiaque, là. Enfin, non, moi, il en fallait beaucoup plus pour me répugner. C’est ainsi que je lui sautai dessus, sans plus attendre. Pas avec tout mon cœur quand même, je craignais de le faire souffrir avec tous ces coups qu’il avait. Donc, j’essayai d’être le plus précautionneux possible tout en laissant sortir mon trop plein d’affection naturel.

      « T’es tout sale et décoiffé, mais je t’aime quand même. C’est qui qui t’a fait ça ? Vais aller le frapper. »


    Venant du petit Ollie, la dernière phrase était totalement drôle. Mais je le faisais pas exprès. J’aimais pas qu’on s’en prenne à mes p’tits choux, ça me rappelait trop ma sœur et ses manigances sadiques. Bon, évidemment qu’après l’avoir dit, je me rendis bien compte que si des types avaient pu faire ça à Logan, moi j’allais revenir avec les jambes et les bras cassés, et je serais peut-être même dans le coma. J’y avais pas trop réfléchi, comme toujours. J’étais bête mais tout le monde semblait s’en ficher, parce que j’étais la chose la plus mignonne à des kilomètres à la ronde, sans doute.
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Logan k. Draygs

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MessageSujet: Re: Je veux un câlin... ft Ollie :3.   Je veux un câlin... ft Ollie :3. EmptyLun 10 Aoû - 15:28

    Oh mon dieu, dites moi que je rêves. C’était qui ce mec qui avait la même tête qu’Ollie mais qui était habillé comme un plouc? Dans le genre habits horribles ont faisaient pas mieux hein. A tout les coups, ce type était un arrière grand père d’Ollie. Oui mais enfin quand même, il avait une coupe comme ça son grand père? Hé! Peut être que son grand père est le premier gay à s’être imposé aux autres sur Terre? Wouaah, ce serait fantastique ma parole! Euh... Il y avait un truc qui clochait quand même, pourquoi son arrière grand père viendrait me voir & me sauter dessus? & puis même, mon raisonnement il n’est pas très logique… Ollie comment y serait né? Ouai bon bah c’est pas son arrière grand père. Mais alors… C’est lui?! Le choc de Ollie contre les bleus, moyen hein… Mais bon, ce n’est pas grave, un immense sourire se dessinait immédiatement lorsqu’il fut contre moi. Je le serrais fort à mon tour même si je ne vous cache pas que je me faisais bien mal.

    « T’es tout sale et décoiffé, mais je t’aime quand même. C’est qui qui t’a fait ça ? Vais aller le frapper. »

    Hum, Ollie frapper quelqu’un? Sans méchanceté, je laissais échapper un petit rire, non mais sans blague, c’était vraiment drôle. Imaginer Ollie face aux trois voyous c’est comme mettre une souris devant 3 chats plus affamés les uns que les autres. Bouh, Ollie sentait vraiment bon, il était propre, il n’avait pas de vieux bleus dégoûtant, il me rendait presque jaloux… Il avait entièrement raison sur le fait que je sois sale & décoiffé, mais qu’est ce que je pouvais faire de plus de toute façon? Bien que ma bouche était pas des plus propre, je faisait un gros bisous sur la joue d’Ollie, purée, qu’est ce qu’il avait pût me manquer avec ses câlins! Je le serrais encore plus fort, me faisant encore plus mal, mais je m’en fiche, quand tu es en manque de câlin, tu es en manque de câlin. & la seule manière d’être bien c’est d’être sûr que pendant au moins 24h tu pourra à peu près t’en passer. Je me rappelais justement qu’il m’avait demander qui m’avait fait tout ces foutus bobos.

    « Bah… Ce sont 3 voyous, il y en avait un qui faisait au moins une tête de plus que moi, il m’a menacé, il a dit que si je bougeais il me frappais. J’ai juste parlé & je me suis quand même fait frapper. & j’ai saigné du nez. Tu te rends compte? J’AI SAIGNE DU NEZ ET JE SUIS VIVANT! J’aurais pût me vider de mon sang ! Être encore là bas, allongé dans une flaque de mon propre sang! »

    Oui, Ollie savait que j’avais une grande phobie du sang & que dès que j’en voyais je m’imaginais les pires choses possibles. Doucement, je collais ma tête contre l’épaule d’Ollie & le serrait encore plus fort. Mes pensées étaient horribles, je revoyait exactement la scène de quand il m’ont frappé &…

    « Il y en a même un qui m’a craché dessus… »

    Ma voix avait était identique à celle d’un petit enfant tout triste qui recherche un peu de réconfort & de compréhension. Enfaîte je me rendais compte, que ce n’était qu’à Ollie que je me plaignais tout le temps, que je disais mes petits malheurs, & tout ce qui suit. Enfaîte, je disais tout à Ollie… Il était un peu mon confident, enfin, après tout c’est normal, c’est un des seuls qui peut me comprendre, & qui me supporte quand je raconte ma vie. & ça je le fait très très bien. Je me décollais doucement d’Ollie, parce que, quand même, il faut se rappeler qu’on est en été & qu’il fait très chaud. Je passais rapidement ma main dans les cheveux, histoire de les remettre à peu près comme il faut. Soudain, une pensée me revint, mon lisseur chéri n’était plus là… & dans les années 50 il n’y en a pas un. Le regard vitreux, je re-regardait Ollie avec une mine des plus pitoyable qu’il soit. & je lâchais d’une toute petite voix.

    « M… Mon lisseur il est plus là. &, ont est coincés là… & sans mon lisseur je suis laid. & avant que ça arrive ici, il faudra attendre des millions d’années. &… JE SERAIS MOCHE JUSQU’À LA FIN DE MA VIIIIIIE!!!! PERSONNE M’AIMERAS SAUF TOI & EN PLUS ICI TOUT LE MONDE IL EST HOMOPHOBE DONC JE SUIS FORCE D’AIMER UNE FIIIILLEEEEE »

    Soudainement, je me rendais compte de ce que j’avais dit, ou plutôt… hurlé. Plusieurs regards se rivèrent sur moi & Ollie, certains étaient noirs comme d’autres juste choqués. J’esquissais doucement un léger sourire gêné & m’écartais légèrement d’Ollie, histoire qu’ils ne croient pas que nous sommes ensemble. Je jetais un petit regard désolé à Ollie & lâchait d’un coup, bien fort.

    « HUM, C’ETAIT POUR RIRE BIEN SÛR. HEIN OLIVER ? »

    Non, vraiment, je n’étais pas du tout doué, enfin, il n’y avait pas beaucoup de gens dans le parc, c’est déjà ça, mais tout de même, il y en avait un minimum. Je passais rapidement ma mèche devant mes yeux, histoire que les gens ne me voient pas, chose totalement stupide je vous l’accorde. Je me levais brusquement & m’enfuyais me cacher & m’asseoir derrière un arbre, passant ma tête entre mes deux genoux & me répétant sans cesse dans ma tête que j’étais la personne la plus stupide du monde…
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