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 La nuit n'est jamais vraiment clémente.. ft Jules b. Genesis

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Logan k. Draygs

Logan k. Draygs


Messages : 36
Date d'inscription : 29/07/2009

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MessageSujet: La nuit n'est jamais vraiment clémente.. ft Jules b. Genesis   La nuit n'est jamais vraiment clémente.. ft Jules b. Genesis EmptySam 8 Aoû - 13:41

La nuit n'est jamais vraiment clémente.. ft Jules b. Genesis AlexgLa nuit n'est jamais vraiment clémente.. ft Jules b. Genesis Barneey
ft. Jules b. Genesis

    De la pluie qui tombe, des cheveux mouillés qui ne tarderons pas à friser, la lune qui se fait déjà haute dans le ciel, l’air chaud qui vous fouette quand même le visage & vous réchauffe juste un minimum, le t-shirt blanc avec Jim Morrison imprimé dessus, complètement collé contre votre peau & devenu presque transparent. & moi qui jure parce que même si il fait lourd, être mouillé ce n’est pas le top on va dire. Surtout que je vais forcément friser & que je vais ressembler à un petit mouton & que je n’aime pas, mais alors pas du tout ça. & vous pensez, des lisseurs dans les années 50 ça n’existe pas… Enfin, si on est vraiment dans les années 50 parce que bon, j’ai quand même des doutes moi hein. C’est peut être une mise en scène, peut être que j’ai parlé à une actrice?! Oh oui, c’est même quasi sûr. On ne peut pas tomber dans les années 50 comme ça à cause d’une secousse. Surtout que je me suis pris un coup sur la tête, & mais, je suis peut être dans le coma? Peut être que je rêve?! Non! Ce n’est pas possible, je ne peux pas être dans le coma! Je suis juste tombé d’un banc bon sang! Certes la tête première mais je me suis pas non plus fracassé le crâne hein, je suis fragile c’est tout. Enfin, bon quand même, même si j’étais dans le coma je sentirais pas autant la bière & puis même, je sentirais pas non plus la pluie qui me tombe sur la tête depuis tout à l’heure & qui va me rendre plus que fou parce que je n’arrête pas d’avoir d’énorme frisson & que je déteste ça. Han, & si on m’avait fait une piqûre, une prise de sang même & que ça avait mal tourné & que… J’étais mort?! Non, le paradis ça ne peut pas ressembler à ça. Le paradis c’est censé être dans les nuages, c’est censé être tout beau, quelque chose qui nous plaît, on est censé retrouver ceux que l’on a perdus. Pour ma part mes parents. Là, personnellement je n’ai pas trop l’impression qu’ils soient là. & mais, je suis pas obligé d’être allé au paradis moi ! Je suis peut être en enfer ! Ce qui serait même plus logique, vu que je n’ai plus mon lisseur, qu’il n’arrête pas de pleuvoir -& que je déteste la pluie parce que ça me fait friser-, & que je suis seul perdu & apparemment dans les années 50.Oui mais, pourquoi en enfer? J’ai étais si mauvais que ça ? Oui, bon d’accord, j’ai fumé pleins de fois alors que je ne devais pas, j’ai bu aussi, j’ai mentis des tonnes de fois mais bon quand même, ce n’est pas comme si j’avais tué quelqu’un! A pars si tuer un mille patte ça revient à tuer une personne. Mais, alors, si c’est ça, je suis le pire des criminels! J’ai tué des tonnes d’insectes dans ma vie! Le pire c’était quand j’étais petit, je prenais un malin plaisir à les faire souffrirent, par exemple, j’enlevais les ailes de la mouche, je l’enfermais entre quatre petits logos & là je chopais une araignée & la mettait avec, là, la mouche elle faisait pas long feu quand l’araignée la prenait. Après, je prenais l’araignée & je lui enlevais des pattes puis je la jetais dans les toilettes en lui disant que c’était mal de tuer un insecte. Oui je sais, j’étais très logique. Mais le fait que je puisse être en enfer me paraissait quand même bizarre, normalement en enfer, on ne mourrait pas plutôt de chaud? Enfin je sais qu’il fait lourd là, mais je veux dire que, normalement il n’y a pas des flammes & ce n’est pas tout rouge avec des diables & tout ça? Enfin, ça c’est ce que tout le monde dit enfaîte donc ça peut très bien être tout autre chose, après tout personne ne sait si ça existe ou pas & comment c’est fait, on à juste formé des hypothèse. Moi j’ai toujours rêvé de pouvoir bronzer en enfer, là ce n’est pas trop ça… Mais bon faut que j’arrête de penser à des choses comme ça.

    & voila, à force de penser et de ne plus faire attention où je mettais les pieds, je me retrouvais seul dans une rue plus que sombre, la nuit était maintenant, vraiment tombée, il faisait donc tout noir. Déjà que en plein jour j’avais du mal à me déplacer mais là, c’était le must. En plus que cette rue soit sombre, elle était étroite, enfaîte, je crois que j’étais dans une ruelle, plutôt longue quand même… J’inspirais & expirais doucement, histoire de me calmer, je me disais aussi que j’étais protégé, que de toute façon dans les années 50 les gens ne sont pas du genre à sortir le soir & à vous tabasser. Enfin, je crois. Je me collais doucement contre un mur & le longeait lentement, lentement, je ne sais pas pourquoi, c’était plutôt débile même, je devrais plutôt me dépêcher, mais je ne sais pas, c’est comme si je ne pouvais pas marcher plus vite, ce qui est absolument débile puisque si j’avais essayé j’aurais pu. Je voyais plus loin devant, même très loin, la petite lumière d’un lampadaire, enfaîte ça n’avait rien de rassurant. L’ambiance du lieu ne me faisait penser à rien d’autre qu’un vieux film d’horreur. Sans bouger, je fixais la lumière du lampadaire qui venait de changer, de grandes ombres venaient subitement glisser jusqu’à mes pieds, je faisait un pas en arrière et relevait la tête, là, tout au fond, trois silhouettes d’hommes se dessinaient. Alors ça, ça sentait vraiment, mais alors vraiment pas bon. Je plaquais une main sur ma bouche m’empêchant de hurler de peur, & regardait immobile les silhouettes se rapprochaient de moi. Oh non, c’est pas possible, pourquoi ce genre de choses tombe toujours sur moi. D’un seul coup, tout en me faisant sursauter, un des trois garçon parlait, il avait une voix grave et menaçante, le genre de voix qui vous glace le sang dans ces moments là…

    « Hé toi là! Doucement, la main tremblotante je me montrait du doigts me demandant si c’était bien a moi qu’il parlait bien que j’en sois sûr. Oui toi crétin. Si tu bouges, moi & mes potes on te pète la gueule, alors fais gaffe.
    Terrorisé, je ne bougeais plus d’un poil, retenant mes larmes de coulaient, oui j’avais très peur. Je pris alors un gros risque.
    _Euh, enfin, c'est-à-dire que… Je… Je suis perdu, alors, si vous pouviez… m’aidez. Je cherche… Jackson Ville. Fis-je d’une vois des plus soumises qu’il soit. Soudain, un des trois qui n’avait pas encore parlé lâchait un rire tonitruant qui me laissa un énorme frisson dans le dos.
    _Tu te fous de nous? T’es entrain de te payer notre gu**le hein? T’es en pleins dedans imbécile! Mais, hélas, pour ton insouciance, nous nous voyons dans l’obligation de te faire du mal. Parce que tu vois, quand on se moque de nous. Nous ont tapent… & fort. »

    À peine eu-t-il finit sa phrase que ses deux copains se jetaient sur moi, l’un deux m’attrapait brusquement les cheveux, me tirant la tête en arrière, m’arrachant en même temps un grand cris de douleur. L’autre, quant à lui, me lançait un énorme coup de pieds dans les jambes quand l’autre m’eu enfin lâché la tête, m’effondrant par terre recroquevillé sur moi-même. Subitement je me prenais le pied de celui qui m’avait parlé dans le visage, les autres continuaient à me frapper à divers endroits.

    « Arrêtez je vous en pries! Hurlais-je les larmes dégoulinants, se mêlant au sang qui s’écoulait de mon nez.
    _Tu peux toujours parler sale martien! Tu t’es vu, tu te maquilles comme une femme & t’as un homme sur ton t-shirt. Tu te prends pour qui hein? Nous ont n’aiment pas les étrangers. Je te promets que si on te revoit tu seras mort. Allez les gars on y va. »

    Ils arrêtaient enfin de me taper, mais l’un d’eux ne se retint pas de me cracher dessus avant de partir. Pendant 20 longues minutes je restais couché par terre, les regardant disparaître, quand enfin ils avaient disparus de ma vue j’esquissais un léger sourire, qui s’effaça bien vite du fait que un des trois m’avait précédemment donné un énorme coup de pied dans le joue & que si je bougeais la bouche je souffrais forcément. Je me relevais doucement, j’eu pendant un instant l’impression que tout mon corps allait se défaire, demain c’était sûr j’allais être remplis de bleus… Je passais ma main sous mon nez essuyant le sang qui s’était enfin arrêté de couler. J’avais déjà un œil au beurre noir, & ma joue droite un peu enflée. J’entendais alors des pas claquaient contre le sol pavé de la rue, je tournais doucement ma tête vers la source du bruit & voyait une jeune fille apparaître. Normalement, elle, elle ne frappe pas. & puis au pire, si elle semblait vraiment louche je m’enfuirais. Là, bien que j’avais affreusement mal, je n’avais qu’une envie. Fumer.
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