ALLY ♥ Elle a ce sourire que les peintres donnent aux anges - fini

Messages : 9 Date d'inscription : 25/07/2009 Crédit : woody pepper

Allhyxir Erin Dashwin
« J'crois pas en Dieu ; c'est lui qui croit en moi. »

feat. Amber Heard

ALLY ♥ Elle a ce sourire que les peintres donnent aux anges - fini Fx3xjs

I.

Pièce d'identité, SVP.

Nom; Dashwin
Prénoms; Allhyxir Erin
Surnoms; Al', Ally
Âge; 18 ans
Lieu de naissance; Jackson (TN)
Origines; Américaine pure souche
Statut familial; hum... compliqué ?!
Groupe; "We come from the past, we are lost"

II.

Qu'est-ce que t'as dans la tête ?

" Ally', elle est sensible, même si elle ne l'avoura surement jamais. Je jure que je l'ai vu pleurer devant un de ses films pour nana à l'eau de rose, une fois quand elle était seule dans sa chambre ! Elle peut être cassante, voire méchante. Ca exaspère les gens en général, ce qui un peu nrmal. Elle est directe et franche, elle ne tourne jamais autour du pot. Si elle a quelque chose à vous dire, ce sera droit dans les yeux. A force, on s'y habitue. La preuve, ça fait près dix ans que je la supporte et je ne me porte pas si al que ça. Elle peut se montrer adorable, par moment, et peu de personne connaissent cette partie de sa personnalité. Habituellement, les gens s'arrêtent à la fille froide et méchante et rare sont les personnes qui arrivent à la voir telle qu'elle est vraiment et je suis vraiment fier de faire partie de ses gens. Au fond, c'est une fille généreuse qui vient toujours en aide à ses proches. Allhyxir, elle est sociable, elle n'a jamais eu de problèmes à se faire des amis à ma connaissance. Toute foi, je sais qu'elle aussi pas mal d'ennemis. C'est qu'elle aime vanner les gens la petite Ally ! Elle veut toujours avoir raison, avoir le dernier mot. Pour lui faire plaisir, je lui dis qu'elle a raison, mais c'est juste que je n'ai pas envie qu'elle me fasse ch*er. Surtout, n'allez pas lui dire ce que je vous ai raconté ! Rassurez-moi, vous n'allez pas le faire, hein ?! " Khaleib Lancaster, son demi-frère.

" Allhyxir, je la connais depuis qu'on porte toute les deux des couches cullottes et cette fille arrive encore à m'étonner ! Que ce soit par son sarcasme ou encore son humour à tout épreuves, elle m'étonne. Les gens pensent généralement vite tout savoir sur elle mais ils ne savent pas qu'elle ne s'ouvre que difficilement, elle s'est construit une sorte de bulle, de carapace pour se protéger de la souffrance, sans doutes. C'est quelqu'un que ne recule jamais devant rien, elle fonce sans se poser de questions et ne refuse généralement jamais un défi. C'est une mauvaise perdante et ce n'est pas rare qu'elle.... fasse en sorte que les événements se déroulent en sa faveur ! Elle ne dira jamais qu'elle a triché, ça non. Quand on ne la connait pas, elle peut facilement passer pour la méchante, mais elle ne l'est pas, crpyez-moi ! C'es difficle de trouve quelqu'un de plus dordélique qu'elle. Sa chambre est un vrai chantier et je ne me gêne pas pour lui faire remarquer. En plus, elle s'étonne de ne jamais retrouver ses affaires... Je vous avais dit que c'était un vrai cas ! " Coree Brighstone, sa meilleure amie.

III.

Toi aussi, t'as une histoire...

Tous les contes de fées commencent par "Il était une fois" et se terminent par "Ils finirent heureux pour toujours". Je pourrais très bien raconte mon histoire de cette façon-là, mais ma vie n'est pas un conte de fées, autant ne pas se voiler la face. Je l'attends toujours mon happy end. En écrivant ces lignes, vous aurez très certainement l'impression que ma vie est un échec total, que je suis à plaindre. Bah en fait, ma vie n'est pas si pourrie que ça. A vrai dire, elle est plutôt pas mal, pour ceux qui arriveraient à s'en contenter. Ce qui n'est vraisemblablement pas mon cas. Bizarrement - ou pas - , je préfére peut-être dormir dans motel au milie de nul part plutôt qua dans un palace en plain New York. M'enfin, passon. J'y reviendrais plus tard. La logique des choses veut que je commence par ma naissance, autant la suivre. C'est dans une toute petite ville du Tennesse que je vis le jour pour la première fois. C'est peut-être difficile à croire, mais mon père a toujours été quelqu'un d'important dans le sens où tout le monde lui demandait son avis pour toutes les décisions importantes de leurs vies. Assez étrange, en effet. J'ai toujours pris ça pour du charisme, m'enfin je n'en suis pas certaine. Il était psychologue dans un grand cabinet en plein centre de Manhattan. Ma màre quant à elle à un grand sens de l'organisation. C' est surement la raison pour laquelle elle était jadis une des meilleures organisatrices de mariages de New York. Je me demande souvent pourquoi le sien avait été un tel fiasco. Ca peut paraître dur, mais c'est pourtant le seul mot qui me vient à l'esprit en y repensant, ou du moins en visionnant le film tourné par mon oncle Ben. Il est cool lui, mon oncle Ben. Mais ça, on s'en fous royalement. Bref, vous devez certainement vous demander que faisaient deux citadins pareils dans un trou perdu au milieu des vaches ? Figurez-vous que je me le demande aussi. Pensaient-ils que leurs talents seraient appréciés à leur juste valeur dans une ville où la moyenne d'âge dépasse l'âge de la retraite ? Et bien ça, seul Dieu le sait. Ils pensaient surement qu'ils auraient un semblant de vie familliale en venant s'installer loin des jungles que représente une telle métropole ? Cette explication me parait plus plausible. Pourtant, ils se foutaient le doigt dans l'oeil. Qu'est-ce que les gens peuvent être naïfs parfois... Je sais qu'ils espéraient souver leurs 5 ans de mariage mais parfois il vaut savoir accepté que c'est finis. Bref, je suis née dans le petit hôpital de la ville, à 2h du mat' un certain 28 décembre. Mes parents avaient décidés que je m'appellerais Allhyxir. Assez original, hein ? Je n'aime pas mon pénom. Beaucoup trop compliqué. Je n'aime pas que les gens m'applent ainsi. Plutôt ironique comme sitation. Mes amis m'appellent Ally, je préfere. Comme la plupart des enfants, j'appris vite à marcher et mot premier mot fut "Maman". Je ne cache pas la joie immense de celle-ci qui semblait avoir atteint le paradis. Mon père lui, semblait tout autant content, imaginez, sa fille chérie venait de parler pour la première fois. Bien sur, mon père n'avait rien d'un père de famille comblé, au contraire, il passait bien plus de temps à son bureau plutôt qu'à la maison auprès de sa famille. Eux qui avait quitté leur ville natale pour avoir ne serait)ce qu'un semblant de vie familiale, c'était plustôt raté, à mon avis. En fin de compte, mes parents n'étaiet pas très présentas dans ma vie. Cha que fois qu'ils se trouvaient dans la même pièce, ils ne pouvaient s'empêcher de se disputer. Assez puéril, en effet. D'un côté, je m'en contre-fichais. Du moment qu'ils m'apportaient tout ce dont j'avais besoin, je la fermais. J'en suis venue à presque considérer mes parents comme des étrangers qui passaient de temps à autre à la maison. C'est égoïste de dire ça, je le sais parfaitement. Je sais aussi que ce n'est pas vraiment de cette manière-là qu'on éduque des enfants. Et puis comme ça, du jour au lendemain, ma mère s'en alla. Elle retourna à New York, ville qu'elle n'aurait jamais du quitter pour crétin tel que mon père, en reprenant ses mots. Ils m'ont demandé avec qui je voulais resté. J'étais alors agée de 6 ans. Sous le coup, j'ai répondu "papa", sans avoir ce que je faisais. Au final, ce ne fut pas une si mauvaise décision. Mon huitième anniversaire fut un gros choc pour moi. Je pensais m’être faites à l’idée de ne plus voir ma mère tous les jours. Ma mère avait beau dire que la différence d'âge avec mon père ne la dérangait pas mais tout le monde savait que 10 ans d'écart, ce n'était pas rien. Elle a du finir par changer d'avis. Je mis beaucoup de temps à réellement accepter cela. Bah, oui. J'étais jeune. Pour cause, je me retrouvai seule devant mon père et son gâteau. Mon père et son sourire trop faux pour sonner vrai. Mais à cet âge là je ne me rendais pas compte, je croyais vraiment qu'il s'en était remis et qu'il était passé à autre chose. Seulement voilà, à huit ans, il y a des choses que les enfant préfèrent ne pas voir ou ne voient pas vraiment. Je ne pus donc que sourire toute la journée en recevant le nombre incalculable de cadeau que mon père m’avait préparé. Il cherchait sans doutes à combler l’absence de ma mère par ses cadeaux, comme si j’avais vraiment besoin de ça. Je voulais simplement qu’il aille bien, je me l’étais promis, il devait aller bien. Je finis par m'en accomoder. Sérieusement, avais)je le choix ? je ne pense pas non plus. Quelque mois après son départ, ma mère m'a-pella pour m'annoncer qu'elle avait refais sa vie avec un homme. Un jeune homme. Il avait pourtant un fils, du même âge que moi. Elle me proposa d'aller passer les vacances chez elle, pour les rencontrer. J'en avais aucunement anvie. J'ai pretexter le besoin de reste avec mes amis, que le grande ville ne m'entéressais pas. J'avais... peur ?! Probablement. C'était comme ça, que je refusais d'aller à New York années par années. Je savais que ça lui brisais le cieur à chaque fois, alors à mes 13 ans, j'ai décidé que je devais aller la voir. Evidemment, la vie à New York me plaisait. Je n'étais pas une fille de campagne, j'avais besoin de la ville. Cela me plaisait bien trop. Comment faire plaisir à l'un sans blesser l'autre, en gardant en tête mes propres désirs ? Bonne question.... J'entrais au collège, puis au lycée. Et puis, après ma dernière année, je décidais qu'il étais temps pour moi d'enfin profiter de la vie. Je pris une année sabatique, pendant laquelle j'allais traverser les USA en voiture. J'allais enfin réaliser mon rêve. Ce fus on ne peut plus plaisant, probablement les meilleurs souvenirs que j'ai. Mon année terminée, je devais aller voir mon père, prendre de ses nouvelles. J'étais chez lui quand le tremblement de terre s'est déroulé. Je sais que j'ai été blessée et puis le trou noir, si ce n'est que je me suis reveillée, dans les années 50.

IV.

... Et des préférences.

Orientation sexuelle; hétérosexuelle, jusqu'à preuve du contraire.
Vinyle fétiche; la dicographie entière des Beatles
Plat préféré; les sushis
Vêtements chéris; sa collection de jeans Diesel
Porte-bonheur; sa cadillac
Idole adulée; euh... elle-même x)

V.

Et dans la vraie vie ?

Prénom ou pseudo; Anaïs/Aubrey* ou prom.queen
Âge; trop vielle pour vous Razz