▬ everybody can say my name. ; Myrtille.

Myrtille Galadriel Lynch
« everybody can say my name; but I just want you... »

feat. ashley greene
▬ everybody can say my name. ; Myrtille. Ashley-greene-10397fe

I.

Pièce d'identité, SVP.

Nom; Lynch.
Prénoms; Myrtille Galadriel.
Surnoms; Myrt'.
Âge; 17 ans.
Lieu de naissance; Jackson ville.
Origines; américaine.
Statut familial; célibataire.
Groupe; "We come from the future, we are lost"

II.

Qu'est-ce que t'as dans la tête ?

Caractère;
« Je n’ai pas besoin de toi. » ou encore « Laisse-moi tranquille. » sont sans aucun doute les phrases fétiches de Myrtille. Elle n’aime pas se laisser marcher sur les pieds, en fait, c’est la pire chose qu’il puisse lui arriver. Elle est peut-être un peu excessive sur les bords, mais pardonnez-lui, c’est ce qu’il fait son originalité après tout. En fait, depuis qu’elle est toute jeune, elle agit de manière un peu maniaque. Elle est toujours sur les nerfs, a toujours peur de quelque chose ou stresse pour une autre chose. Elle n’est jamais en paix avec son esprit dirons-nous. La brunette est très facilement irritable, tout simplement. Il ne faut surtout pas la contrarier, car un coup contrarié elle ne pardonne pas tout de suite. De plus, vous aurez sans doute le droit à une grande scène de sa part. En réalité, Myrtille aime être comme ça. Elle se sent bien lorsqu’elle laisse aller ses émotions et qu’elle ne garde pas leurs poids sur son esprit… c’est apaisant. C’est ce qu’elle aime le plus du plus ça; se sentir bien en elle-même. Et Dieu sait que ce n’est pas facile aujourd’hui ! Pourtant, elle réussit. Pour les autres, elle n’est qu’une maniaque complètement cinglée qui risque de te faire une scène si tu la contraries qu’un peu. Pour Myrtille, elle est elle-même et c’est tout. Elle ne se cache pas derrière des stéréotypes débiles. D’ailleurs, la jeune fille n’a pas du tout sa langue dans sa poche. Elle n’hésite pas à dire la vérité, elle est franche autrement dit. Par contre, il y a une bonne manière d’être franche et une mauvaise. Il fallait bien entendu qu’elle hérite de la mauvaise. En fait, elle est trop directe. Elle n’hésitera pas à vous foutre la honte en publique, sans le faire exprès par contre. Elle ne réfléchit pas avant de parler, disons que ce n’est pas le genre de personnes à tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Il est rare qu’elle regrette ses paroles, autant entendre la vérité une fois pour toute au lieu de se voiler la face, non ? Les seules fois où elle acceptera de mentir ou de garder sa langue dans sa poche, c’est quand ça la concerne personnellement. Elle a beau être très franche, peu savent beaucoup de choses sur sa vie. En fait; on peut clairement dire que personne sait quoi que ce soit sur elle. Elle n’aime pas se confier lorsque ça la concerne. Elle trouve cela gênant et inutile, à moins que cela puisse sauver le monde, il n’y a aucune utilité à ce qu’elle en raconte sur elle ! Sinon, elle a beau ne pas être très aimée par ses camarades, elle est arrivée à se dégoter quelques amis qui la supportent jour et nuit. En amitié, Myrtille est une tout autre fille. Elle ferait tout pour ses amis. Bon, tout sauf se confier. Mais à part ce point, elle est d’une loyauté sans vice. Dans le monde où vit Myrtille, il n’y jamais eu de place pour l’amour. Elle n’a jamais eu de petit copain, pour elle ce monde est un monde sauvage et inconnu… honnêtement, elle se plait plutôt bien dans son monde. Elle n’a pas envie d’avoir un mec sur le dos qui lui en demande plus que ce qu’elle peut donner. Tout cela lui semble si compliquée. Ce qui est compliquée pour Myrtille est inaccessible… Malgré tout, elle a déjà eu des aventures d'une nuit. Même si elle est bizarre, il faut avouer que Myrtille est particulièrement mignonne et que par conséquent, les mecs ne sont jamais contre l'idée d'une nuit avec elle. Tant que ça ne va pas au delà du plaisir, ça lui convient.

III.

Toi aussi, t'as une histoire...

Histoire;
Une histoire aussi simplette que d’autres. Je n’ai rien d’extraordinaire, bien au contraire ! Je suis sans doute tout à fait normal parmi les originaux. C’est ce qu’est devenu le monde à ce jour. Il faut toucher les extrémités, les limites d’une sorte de personnages pour se faire remarquer. Sinon, l’on passe inaperçus. Honnêtement, je ne fais pas parti des inaperçus, au contraire, tout le monde c’est déjà permit de me juger ! Je sors de l’ordinaire, je n’hésite pas à dire ce qu’il me passe par la tête et agir comme je le souhaite. Je ne me retiens pas. J’ai été élevé comme ça. Ma mère était exactement comme ça. Mon père ? Mon père était le contraire. Le stéréotype parfait. Il était difficile de s’imaginer comment ils avaient pu finir marier et avec un gosse, moi. En fait, c’est surtout les parents de mon père qui l’ont poussé vers ma mère. Elle était riche après tout ! Des parents avares veulent que leur enfant le soit aussi. Ma mère croyait voir en mon père un défi, une personne qu’elle pourrait changé pour la transformer comme elle alors elle se maria avec lui. Malheureusement, elle s’était trompée. Il était pleinement différent. Malgré tout, elle ne pensa jamais au divorce. Elle l’aimait quand même. J’ai toujours vu mes parents s’aimer. Du moins, jusqu'à mes 1o ans…

▬ 22 Mai 2oo2.
Je revenais de l’école. Un jour comme les autres. Je n’avais pas beaucoup d’amis à cet âge. Les autres enfants semblaient parfois effrayer par les remarques que je faisais et je n’aimais pas vraiment voir leurs têtes. Comme si j’avais dit qu’un dinosaure était dans les environs et qu’il allait bientôt venir nous écraser d’un coup de patte ! Si j’avais dit ça, j’aurais compris, mais voilà; je n’avais jamais parlé d’un quelconque dinosaure. En fait, je n’avais qu’un seul ami en tout. Mais il était vraiment adorable. Il est le seul à n’avoir jamais affiché un regard apeuré en m’entendant parler. Non au contraire, on rigole bien ensemble. Il me consolait lorsque j’étais triste, lorsque l’on m’avait blessé. En plein le genre de personne dont j’avais besoin. Pour mon jeune âge, j’avais pleuré de nombreuses fois… Auparavant, j’allais voir maman quand j’étais triste, mais je m’étais aperçue que ça la blessait autant que moi de me voir pleurer ainsi. Je m’en étais donc remis à mon seule amie; Tommy. Il a le nom le plus banal qu’il puisse exister, malgré tout, il est tout sauf banal !

Comme je le disais, je revenais de l’école. J’adorais les retours à la maison. Souvent, il y avait papa dans son bureau qui travaillait sur je-ne-sais-pas-quoi et maman qui m’attendait. Ce jour-là, il n’y avait pas de maman. Elle m’avait laissé un mot comme quoi elle arriverait en retard. Par contre, Papa n’était pas là, lui non plus. Je m’étais aussi tôt dit qu’il devait être enfermé dans son bureau. La porte était fermée après tout. Mais paranoïaque comme je l’étais, je ne voulais pas être toute seule les portes fermées. Qui sait ce qu’il pouvait se cacher derrière une porte ? J’avais donc ouvert toutes les portes sauf celle du bureau. Ce fut la dernière que j’avais à ouvrir et je stressais un peu. Le bureau de papa, c’était bien la seule pièce à laquelle je n’avais pas accès ! Mon esprit me convint finalement de l’ouvrir. Ce que je regrettai aussitôt. Sur la porte, il y avait un truc qui bloquait. J’arrivai à l’ouvrir en poussant le plus fort possible. Je regrettai aussitôt ma force, car ce qui bloquait c’était carrément mon père qui semblait être tombé évanoui à première vu. J’étais restée bouche-bée devant lui pendant plusieurs minutes avant de sortir de ma surprise pour courir aller chercher le téléphone. Maman m’avait laissé un numéro pour appeler en cas de problèmes. J’appelai aussitôt et lorsque j’entendis décrocher, je fondis en larmes. J’expliquai d’une voix remplit de soubresauts la situation et ma mère raccrocha aussitôt me disant qu’elle arrivait le plus vite possible.

J’étais restée au même endroit sans bouger. Mes sanglots ne s’arrêtaient plus. Le pire, c’était que je croyais que mon père était tout simplement évanoui. Au contraire, il était mort, mais ça je l’apprendrais seulement quelques heures plus tard. C’est dans ce genre de moment que j’aurais aimé que Tommy soit mon frère. Je l’avais aussitôt appelé après avoir téléphoné à maman. Il avait accouru jusqu'à chez moi. Il avait peut-être le même âge que moi, mais on aurait dit à ce moment-là qu’il était mon grand frère. Il tentait de me consoler comme il le pouvait comme un grand frère le ferait…

Après, ma mère n’a jamais eu un autre amoureux. Cette histoire clôturait sa vie amoureuse. Elle a rapidement fait le deuil, acceptant en moins de deux le départ de mon père. Personnellement, ce fut beaucoup plus difficile. Je n’aurais jamais pensé que mon père mourait d’une crise cardiaque. Je l’imaginais très vieux et moi plus grande lorsque ça arriverait, mais il faut croire que l’on en avait décidé autrement. Lorsque je finis par accepter le sort de mon père, j’entrais dans l’adolescence. J’avais aussi accepté mon caractère et je m’assumais pleinement. Je ne supportais pas les autres qui rigolaient de moi. Parlant dans mon dos, il y a eu je ne sais combien de rumeurs à mon sujet. Toutes fausses bien entendu. Lorsque je fêtai mon quinzième anniversaire, mes quelques amis décidèrent de me trainer en boite, contre ma volonté. C’était une boite de nuit à une heure de route de chez moi, ils voulaient vraiment marquer le coup. Personnellement, j’étais ni chaude ni froide à cette idée. Je n’avais jamais été le genre de personne à apprécier les sorties dans ce genre de toute façon. Comme je voulais leurs faire plaisir, j’avais accepté. Mais ce jour-là, je le regrettai longtemps…
( suite de l'histoire dans un post plus bas. )

IV.

... Et des préférences.

Orientation sexuelle; hétérosexuelle.
Vinyle( ou CD ) fétiche; Absolution - Muse.
Plat préféré; le spaghettis de maman. (l)
Vêtements chéris; un sweet-shirt beaucoup trop grand, mais très douillet.
Porte-bonheur; un bracelet que je porte à la cheville.
Idole adulée; sans aucun doute; ma maman. =D

V.

Et dans la vraie vie ?

Prénom ou pseudo; ~~on m'appelle gigolo. u.u~~ mwaa c'est déée =D
Âge; 14 ans.

Comment as-tu connu le forum ? Ça doit faire quinze fois qu'on m'passe le lien pour que j'regarde les nouveautés tongue

Présence sur 7 jours; Baah je sais pas moi... Tu peux m'le dire toi ? rabbit

Moi j'estime sept jours, mais on sait jamais Razz

Autre; j'aimee les smileys jaunes I love you

vous allez les laissez ? o.o sinan j'ai une folle envie de dire; 50s are fabulous.

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuue <3333

Pour les smileys j'en metterais demain mais je garderais ceux la car supprimer sa met trois heures x)

~~je suis vraiment pas assez têtue u.u~~

Histoire(suite) ;

▬ 10 Janvier 2oo7.
La voiture puait. Comme j’étais heureuse de sortir de cet enfer puant ! Je n’en revenais toujours pas. Ma mère avait accepté que j’aille dans une boite de nuit alors que je n’ai que quinze ans ! « Tant que tu ne fais pas de conneries. » m’avait-elle dit. Huuum ? Parfois, je regrettais vraiment de ne pas avoir une mère normale. Elle était ma seule échappatoire à ce presque-kidnapping. J’avais la nette impression qu’ils s’étaient tous arrangés pour que ça fonctionne et que j’y aille. Voilà, maintenant j’avais l’objet de mes peurs devant moi. Il ne restait plus qu’à réussir à convaincre le mec dix fois plus gros que moi que j’ai dix-huit ans, un jeu d’enfant !

Est-ce les papiers ou moi qui l’a convaincu ? Me voilà maintenant à l’intérieur. Si j’étais normale, j’aurais adoré cet endroit, mais une petite voix aux creux de moi me disait que je devais le détester. Je regardai autour de moi à la recherche d’une personne bien précise. Mes yeux se posèrent sur lui et je poussai un soupir en allant le rejoindre. Tommy m’était toujours d’un grand secours dans ce genre de moment. Lorsque je le rejoins, il me lança un regard désolé et me montra un mec du doigt. Je ne comprenais pas où il voulait en venir. Je regardai Tommy avec un air curieux. Il rigola et m’expliqua;

« Ce mec là-bas, il est parfaitement ton genre et je peux parier qu’il a presque ton âge. De plus, il te reluque depuis un moment. »

Je n’ai pus m’empêcher de foudroyer Tommy du regard. Pourquoi il me racontait tout ça ? C’était ça son but en me trainant ici; me caser avec un inconnu pour une nuit ? Je poussai un soupir et me retournai pour voir dans quelle direction il regardait. Je dus me résigner à une chose; le mec était vraiment canon. Beaucoup plus que ceux que je me coltine en cours. Un sourire s’échappa et alla se coller sur mon visage. Discrètement, je rentrai mes ongles dans le bras de Tommy en me tournant vers lui, complètement paniquée. J’étais morte de trouille. Je le vis grincer des dents en observant ma main, mais je ne le relâchai pas. Je me mis alors à paniquer complètement;

« Je fais quoi, maintenant ? Je vais le voir ? Je dis quoi ? Merde, Tommy ! C’est toi qui m’a mit ces idées en tête, je t’en prie, aide-moi ! Tu sais bien que je ne m’y connais en rien dans tous ces trucs… »
« Ferme-la Myrt’ ! Premièrement, calme-toi. Deuxièmement, va le voir et salue-le. Il se débrouillera pour te faire la conversation. & troisièmement, tu peux desserrer les griffes ? Je n’apprécie pas vraiment la sensation. »

Je pris une grande respiration et lui souris. Je relâchai finalement l’emprise que j’avais sur son bras et je passai une main dans mes cheveux. Je regardai encore une fois le mec. Il me fixait avec une insistance qui me déstabilisa quelques secondes, mais je repris vite sur moi-même. J’avais l’impression d’être l’une de ces filles totalement idiotes que je détestais tant. Je m’avançai vers lui et suivit les indications de mon maitre. Tout se passa à merveille. Je ne savais même pas ce que j’attendais de ce mec. Voulais-je aller plus loin, ou en rester là ? Je le vis alors qui me regardait avec une telle insistance encore une fois, j’avais la nette impression qu’il tentait, en vain, de communiquer avec moi par pensées. Ça m’embêtait un peu. Pensait-il que je savais lire dans ses pensées ? Si c’était le cas, c’était plutôt raté ! Il s’avança alors et plaqua ses lèvres sur les miennes. J’aurais voulu vous dire que c’était formidable, mais je fus complètement dégoutée. Je le repoussai le plus fortement possible et passai une main sur mes lèvres en le regardant ahurie. Il semblait aussi surpris que moi. Sans penser, je me mis à m’énerver;

« T’es idiot ou quoi ? Est-ce que je t’ai fait un quelconque signe comme quoi je voulais que tu m’embrasses aussi sauvagement que si tu étais un homme des cavernes ? Merde, je suis certaine qu’un poney embrasse mieux et cela malgré l’haleine ! »

J’avais peut-être un peu exagéré. Tout le monde autour de nous, nous regardait maintenant. Les gens avec qui j’étais venu vinrent vers moi et nous retournâmes à la maison. Je ne vous l’avais peut-être pas précisé, mais ce jour-là c’était mon premier baiser. J’avais décidé de ne le dire à personne. Mon premier baiser c’était passé avec un inconnu qui embrasse comme un homme des cavernes. Génial !

Après ce jour, je rencontrai des mecs qui embrassaient mieux que des poneys et qui me charmèrent pour la durée d’une nuit. La dernière journée qui franchit le top trois de mes journées les plus marquantes fut celle qui marqua tout les citoyens de Jackson ville; la journée du tremblement de terre. Je n’aurais jamais cru possible qu’une simple manifestation de la nature m’apporte tant de malheur. Bon, d’accord, si un ouragan était venu saccager le pays entier, ca aurait sans doute apporté autant de malheur, mais c’était un tremblement de terre bon sang ! La catastrophe naturelle qui vient après tremblement de terre c’est verglas. N’est-ce pas un peu banal ? J’aurais préféré pouvoir me vanter d’avoir vécu ce que j’ai vécu grâce à l’intermédiaire d’un raz-de-marée. Dommage, ça n’arrivera pas.

▬ il n’y a pas longtemps, en 2oo9.

« Je m’en fous tu sais de la couleur de cheveux de cette pouffiasse ou quoi que ce soit qui la concerne. »
« Je rêve ou… »

Je ne le laissai pas finir sa phrase que je le foudroyai du regard. Je savais quel mot il allait dire. C’était tout simplement trop évident. Il était hors de question que je le laisse dire ce mot ; jalouse. J’avais toujours été possessive, mais c’est temps si, je voulais tout sauf partager mon meilleur ami. Je regardai Tom d’un regard désespéré et il comprit qu’il ferait mieux de se taire. Je n’aimais pas lorsqu’il me comprenait ainsi. J’avais l’impression d’être épier dans mon monde. Je m’arrêtai alors devant mon casier et jouai avec le cadenas pour tenter de l’ouvrir. Je laissais faire mes doigts qui connaissaient le manège sans même que j’aie à leur indiquer. Je l’ouvris finalement et je tentai de fouiller dans les livres sans qu’il n’y ait une avalanche de livres qui me tombait sur la tête. Tommy continuait de me faire la conversation à côté de moi, mais j’avais en quelques sortes fermées l’écoute. Je n’étais pas d’humeur à l’entendre me parler de tout et de rien. J’étais montée sur la pointe des pieds pour atteindre un livre lorsque je sentis le sol qui semblait se dérober sous mes pieds. Je retombai aussitôt pour avoir les pieds bien à plat et m’agrippai sur la porte du casier en tenant le bras de Tommy le plus fort que je le pouvais. Lorsque je paniquais, j’avais cette tendance à rentrer mes ongles dans son bras. Je le plaignais, moi qui aimais avoir les ongles longs…

Mais je ne prenais pas vraiment le temps de me concentrer sur mes ongles en ce moment. Je sentis alors des choses lourdes qui s’abattaient sur mon crane et qui me firent tomber à la renverse. Dans ma chute, je trainai mon meilleur ami avec moi, mais je n’en avais pas conscience. J’avais complètement perdu conscience. Pour moi, tout venait de s’arrêter.

Ce fut lorsque j’ouvris les yeux que je fus sous le choc. Tout avait changé, on aurait dit que je n’étais plus chez moi. Pourtant, je reconnaissais les endroits, mais ils avaient un petit truc de différent. J’avais un sacré mal de crane en me relevant, mais j’avais parcouru les rues quand même. En voyant toutes ces personnes habillées comme si l’on était dans l’an 50, je commençai à me poser des questions. Y avait-il un festival dans le coin ou un truc dans le genre ? Tout le monde me dévisageait comme si j’étais une extra-terrestre. Il faut dire qu’avec mon jean diesel et ma chemise à carreau, je faisais tache dans le paysage…

Bizarrement, il me sembla que le festival devait durer suuuuper longtemps, car personne n’enlevait ces habits bizarres. Ce fut en essayant de retourner chez moi que je m’aperçus que ce n’était plus ma mère qui y habitait, mais une vieille femme que je ne connaissais pas. Soudainement, l’illumination me vint… et si j’étais dans le passé ?

Messages : 195 Date d'inscription : 23/07/2009

Une Ashley cheers

Bienvenue !! Very Happy

J'ai le grand plaisir de t'annoncer que tu es validées !! I love you

» myrtille. une folle de plus dans un monde de fou.