Dives in 50s
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 Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost.

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Oliver D. Ferguson

Oliver D. Ferguson


Messages : 234
Date d'inscription : 23/07/2009
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MessageSujet: Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost.   Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost. EmptySam 25 Juil - 21:46

Oliver Denzel Ferguson
« Une addiction aux câlins, un grain de folie, un peu de perlimpinpin et paf, ça fait un Ollie ! »

feat. Paul Griffiths
Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost. Pg17d
© kami
    I. Pièce d'identité, SVP.

Nom; Ferguson, mes ancêtres étaient des Écossais ! Oui, oui, ils ont même fait la chasse à Nessie !
Prénoms; Oliver, comme... comme... OLIVER TWIST ! Euh, désolé, c'est tout ce que j'ai trouvé. Et le D. c'est pour Denzel, comme Denzel Washington, et voilààà.
Surnom; Y'a pas à chercher loin, c'est Ollie. J'aime bien qu'on l'écrive de cette manière, moi.
Âge; J'ai dix-neuf ans, je vais bientôt avoir des rides et je vais mourir et... Je suis né le huit juillet 1990. N'oubliez pas mon anniversaire sinon je pleure.
Lieu de naissance; Jackson Ville, ma ville chérie, la plus belle de toutes les U.S.A. Hum, moui.
Origines; Écossaises de très loin. Mais je suis quand même très américain.
Statut familial; Célibataire, bien que j'espère pas pour trop longtemps. Parce que j'suis tombé en amour... Avec qui ? C'est secret ! Boy, tout le monde le sait déjà, en fait.
Groupe; We come from the future, we are lost.

        II. Qu'est-ce que t'as dans la tête ?


      Caractère; Tout le monde dit que j'ai les traits typiques de l'homo en manque d'amour. Juste parce que suis très câlin, que je veux tout le temps des bisous dans le cou et que je déteste dormir tout seul. Euh, bon, d’accord ça peut prêter à confusion, mais pour le dernier point, je dois préciser que j’ai vraiment très peur du noir et j’ai du mal à fermer l’œil sans sentir la présence de quelqu’un à côté de moi, c’est tout simplement ça. En réalité, j’ai aussi peur des insectes, en particulier des araignées, des chiens, des ascenseurs et du sang. Et j’ai tellement la poisse que je tombe toujours là-dessus. A croire que j’adore me choper des crises d’angoisse. En tout cas je ne vous conseille pas de vous situer près de moi dans ces moments-là. Je suis du genre à m’agripper à vous, peu importe si je vous connais ou non, et à serrer si fort que vous pourriez étouffer. Heureusement que je n’ai aucune force dans les bras, hein. Et puis rassurez-vous, généralement, je n’ai que Benjamin à portée de mains. Et même s’il est un peu plus loin qu’une autre personne, mon choix se tourne souvent vers lui. Je pleure beaucoup pour des bêtises, en fait, je suis super doué pour ça : me plaindre et faire des yeux tout mouillés de chien battu. Je mérite bien mon surnom de tapette du quartier, en fin de compte. Je me laisse facilement distraire. Par exemple, si je vois un moucheron voleter devant mon nez, je vais le suivre des yeux jusqu’à ce que je le perde définitivement de vue. Quand on me raconte une blague, je mets un temps fou à saisir. Je suis assez lent dans ma tête. Et j’oublie plein de trucs aussi, même si c’est very, very important. J’ai un très mauvais sens de l’orientation, je suis incapable de retrouver mon chemin, même dans Jackson Ville bien que j’y habite depuis toujours. Tout petit, j’étais un gamin très timide, je flippais dès que je voyais un inconnu, mais je sais pas pourquoi, aujourd’hui, j’ai complètement changé. Je suis devenu tellement extraverti et sociable que j’emmerde les gens, surtout Benjamin, en fait. Je m’attache très vite aux gens, si vous me parlez une fois, je vous considérerais déjà comme mon ami. Ah oui, je suis un vraaai pot de colle. Dès que j’aime un peu quelqu’un, il faut que je le suive, c’est plus fort que moi. Ça me gêne pas, moi, ça embête juste celui à qui je suis scotché. En plus, je ne veux pas vous décourager, hein, mais c’est quasiment impossible de me faire lâcher prise. Quand j’aime bien une personne, c’est pour la vie. J’éprouve plein de difficultés à être méchant ou à en vouloir à quelqu’un. Je suis naïf, on peut me faire gober tout ce qu’on veut, et je pardonne en un clin d’œil même si on me fait des excuses bidons. Je suis trop gentil, c’est ce qu’on me répète tout le temps. Mais je suis pas seulement gentil, je suis adorable. Et j’adore ça, justement. Il y en a qui trouve que je suis assez maniéré et que mes gestes sont franchement inutiles. Beaucoup affirmeront que c’est stupide de sautiller en pleine rue sans raison sous prétexte que c’est mignon, et qu’à dix-neuf ans, je devrais arrêter de faire ça, mais j’aime être craquant, moi, alors faut bien que je fasse tout mon possible pour l’être. Haan, ils ne comprennent rien à rien, voilà tout.

        IV. ... Et des préférences.


      Orientation sexuelle; Homosexuel, comme personne dans les environs. Bouhouhouhou. Je vais demander au Père Noël de convertir Benji. Mais, au fait, je suis même pas sûr de son orientation à lui. Il me parle jamais, il me déteste, je parie, OOOOUUUUIIIIIIIN. Uh, j'arrête de raconter ma vie.
      Vinyle fétiche; Abbey Road des Beatles. C'est le seul vinyle qui traîne chez moi. Et il sert de décoration dans le salon.
      Plat préféré; Gâteaaaaaaaaaaaaaaaaaaaau. Sucre, sucre, sucre. Comment ça c'est pas un plat ?
      Vêtements chéris; Toute ma garde-robe est aimée, je ne fais pas de préférences là-dessus, sinon mes vêtements seraient trop tristes.
      Porte-bonheur; MON DOUDOOOOOU. Mon lapiiin en peluche, il est trooop mignon. On est censé le donner à un de ses enfants de génération en génération, mais comme j'aurai du mal à en avoir... Bah je le garderai tooooute maaa viiiie.
      Idole adulée; Des personnes pas encore nées dans les fifties, sans doute. Mais pour vous faire plaisir, je vais dire Audrey Hepburn parce que c'est la seule femme au monde que je trouve séduisante.

        V. Et dans la vraie vie ?


      Prénom ou pseudo; Camille
      Âge; 16 ans
      Comment as-tu connu le forum ? Euh...
      Présence sur 7 jours; 5/7 minimum.
      Autre; *Câlin*
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Oliver D. Ferguson

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MessageSujet: Re: Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost.   Ollie ▬ i was lost, now i'm too lost. EmptyDim 2 Aoû - 10:27

      III. Toi aussi, t'as une histoire...


    Histoire; Je crooois… Que je peux vraiment pas me plaindre. Pourtant, c’est ce que je fais le plus clair de mon temps. Sérieusement, j’ai les meilleurs parents qu’on puisse rêver d’avoir. Papa, Oliver Denzel Ferguson Senior – oui, théoriquement, je suis « Junior » – est propriétaire d’une chaîne d’hôtels cinq étoiles, que l’on trouve dans toutes les grandes villes des Etats-Unis, et dans les capitales célèbres telles que Paris, Tokyo, Londres et toutes les autres. Et ne vous faites pas d’idée hâtive sur lui, malgré ce travail et son lot de responsabilités qui va de paire avec, il a toujours été présent au moment où on en avait besoin. Avec Maman, alias Shelly Izobel Rosamund, c’est pareil. Styliste renommée, elle est souvent en voyage, mais elle ne s’est jamais privée de nous emmener avec elle, et de nous consacrer des journées entières. Je sais, je dis « nous ». Tout simplement parce que j’ai une sœur, de trois ans mon aînée, Sadie Orianne Ferguson. Elle porte très bien son prénom. Oui, oui, vous virez le « e » et vous mettez « que » à la place, et ça décrit tout son caractère. Bon, vous découvrirez plus tard pourquoi je dis de telles horreurs sur ma sœur. D’ailleurs, comparé à ce qu’elle me lance tous les jours, je peux vous affirmer que je suis extrêmement gentil.

    Je suis né en juillet, j’aime bien l’été, il fait chaud et il y a du soleil. Ça me va bien, vu à quel point je suis chaleureux. Dès ma naissance, j’ai été considéré comme un cadeau tombé du ciel. Voyez-vous, dans ma famille, on est gérant d’hôtels de génération en génération. Mon arrière arrière arrière grand-père a fondé le tout premier hôtel Ferguson à Las Vegas juste après la première guerre mondiale, alors qu’il arrivait tout droit d’Ecosse. Ça remonte à loin, maintenant. Où je veux en venir ? Bah, en fait, ça a toujours été les hommes à la tête et les femmes au foyer chez les Ferguson. Donc ma chère sœur Sadie, malgré son statut d’aînée, a été écartée de la direction de la chaîne d’hôtels à mon profit. Et oui, tout bêtement parce que je suis un garçon et pas elle. Bien sûr, Papa a été un peu démystifié quand il a compris que ma virilité laissait aussi à désirer, mais ça l’a pas empêché de me former. Tout petit, j’avais beaucoup de problèmes à me faire des amis. J’étais vraiment très timide. Alors je restais scotché à ma sœur, à l’époque, on était un tant soit peu proches. Elle n’avait pas encore cette envie de tout diriger. Ce qui m’a poussé à changer en ce gamin sociable, même trop sociable, c’est juste que mes parents m’ont légèrement forcé la main. Il fallait que j’établisse des contacts, c’est important pour mon futur métier, vous savez. Maman m’a laissé me réfugier dans ses jupes jusqu’à mes six ans, où j’ai dû commencer à me faire des amis dans les enfants de grands PDG et autres de leur connaissance. Les enfants, parce que plus tard, ce serait avec eux que je devrais faire des affaires.

    J’ai fini par m’habituer à tout ça, à sourire à tous les gens que je croisais et toutes ces choses-là. En même temps, j’avais droit à des leçons de maintien, de conduite en société, de politesse… J’ai tout appris dans les règles de l’art. Ma sœur a été éduquée de la même manière, excepté qu’au lieu du cours pour savoir comment diriger une entreprise, elle avait celui pour diriger une maison et faire une épouse parfaite. Les mariages arrangés sont toujours d’actualité chez nous. Enfin, moi j’ai réussi à y échapper grâce à mon homosexualité que je n’ai pas voulu cacher. D’ailleurs, celle-ci fait partie intégrante de mon histoire. Je ne pense pas que ce soit contre-nature et toutes ces choses religieuses et complètement idiotes. Peut-être parce que je le suis, ou peut-être parce qu’on nous a toujours appris à nous montrer tolérant. Mes parents sont des gens formidables pour ça. De toute évidence, ils avaient saisi depuis très longtemps que je tournerai gay. Enfin, vous me direz, ça existe les garçons qui jouent à la poupée et qui sont quand même hétéros, mais moi je faisais partie de l’autre catégorie, de toute évidence. Et puis plus je grandissais, plus je calquais mes gestes et mes intonations sur Maman et les actrices dans les films à l’eau de rose, me chopant tout plein de manières efféminées, au final.

    Bref, mes parents savaient avant moi, et quand je leur en ai parlé, ils sont restés très ouverts et ont accepté de ne pas m’imposer une fiancée choisie par leurs soins. Avec Sadie, on a toujours reçu beaucoup d’amour. Même si nos grand-parents ont toujours été plus durs envers nous, Papa et Maman ont toujours pris notre défense, surtout la mienne, en fait, parce que ma sœur fait tout ce qu’ils attendent d’elle, à part me soutenir, mais ça, ils l’ignorent. Sadie a commencé a me détester vers ses douze ans, lorsque Papa lui a expliqué qu’elle n’hériterait pas de la chaîne d’hôtels Ferguson. Alors quand elle a su que j’étais homo, là, bah… Elle m’a haï encore plus. Je sais pas comment elle fait, parce que moi je n’arrive pas à lui reprocher quoi que ce soit malgré tout ce qu’elle me fait subir. Je suis son frère, quoi ! Au tout début, c’était encore supportable, elle se contentait de me faire des croche-pieds pour que je m’éclate par terre en plein milieu d’une soirée de gala pour me foutre la honte – évidemment que ça fonctionnait pas, j’avais qu’à faire des yeux mouillés et toute l’assemblée accourait pour me secourir. Ou alors de renverser « maladroitement » un verre de coca sur mes vêtements tout neufs, ou de me coller un chewing-gum dans les cheveux. Ça c’était avant qu’elle ne soit au courant de mon homosexualité. Après, tout s’est empiré. Elle s’est arrangé pour tout me faire rater, si j’essayais d’étudier, par exemple, elle venait me déranger jusqu’à ce que je n’aie plus la tête à ça. Mes notes ont beaucoup baissé à cette époque-là, alors que j’avais toujours été premier de la classe, en bon Ferguson. Il m’a fallu plus d’un mois pour trouver la solution, complètement débile : j’avais qu’à fermer la porte de ma chambre à clés.

    Après ça, elle a eu cette idée de détruire ma réputation en racontant des histoires humiliantes à mon sujet aux relations de nos parents. Pas de bol pour elle, les gens trouvaient ça chou. Oui, j’étais un adolescent tellement mignon qu’on me passait tout, comme si j’avais encore cinq ans. Moi, ça me gênait pas. Donc, dès qu’on était ensemble et seuls, elle m’insultait, me lançant toujours des paroles plus blessantes les unes que les autres, jouant surtout sur le fait que j’étais gay et que c’était mal. Elle disait que tous les amis de Papa et Maman me méprisaient, qu’ils étaient gentils avec moi juste parce que j’allais hériter de tout, et dès qu’elle me touchait au cœur, elle enfonçait le couteau dans la plaie jusqu’à ce que je pleure et me tape une crise d’angoisse. En général, ça venait assez vite. Vous comprenez pourquoi ça ne me fait plus rien à présent. Il m’a fallu en tout un an pour ne plus la laisser me démolir par les mots. Mais voyant que je m’étais habitué, elle s’est attaquée à mes amis. Mes vrais amis, ceux que je fréquentais en dehors des dîners mondains, ceux à qui je pouvais faire des câlins et avec qui je pouvais me comporter naturellement. Et elle y est parvenu à plusieurs reprises, elle les a éloignés de moi en grande partie. J’ignore ce qu’elle leur confiait sur mon compte, mais ça marchait, ils la croyaient. Parce que je ne leur parlais jamais d’elle, sans doute, j’avais justement peur qu’elle ne les atteigne, et c’est arrivé.

    Elle m’attriste, vous savez. Dès que je la regarde, j’ai la désagréable sensation de déprimer. Et même si je ne lui laisse plus le plaisir de voir que je souffre, ça m’affecte, toute cette rancœur qu’elle nourrit à mon égard. En plus, moi je veux bien lui refiler mes responsabilités, vu que les hôtels, c'est pas ma tasse de thé. Personnellement je suis plus intéressé par suivre les traces de Maman et travailler dans la mode, mais bon, je n'ai pas le choix. Bref, un soir, elle m’avait dit des choses tellement horribles que j’étais sorti prendre l’air. Je m’étais promené, sans trop savoir où j’allais, à cause de mon très mauvais sens de l’orientation. Et c’est là que je suis tombé sur Jeff et ses copains. Dans le genre homophobe et cogneur, dans le quartier, il n’y avait pas mieux que Jeff. Et me croiser avait apparemment déclenché sa colère. Deux secondes plus tard, j’étais par terre, sur le trottoir, et encore, il m’avait à peine poussé. J’aurais dû m’enfuir, peut-être, mais mes chances étaient de zéro. Je suis pas vraiment un athlète, moi. Et me battre… Euh, me quoi ? Heureusement, mon chevalier est venu pour me sauver – haha, il détesterait que je l’appelle mon chevalier, donc chut. Mon voisin chéri. Benjamin, Benjamin, Benjamin. Dès lors, ça a été les plus beaux jours de ma vie. C’est plus fort que moi, il faut que je le suive partout, et il suffit que je le voie et il me rend heureux. Et il ne fait rien pour ça, en fait, il fait même tout le contraire. Le nombre de fois qu’il a voulu se débarrasser de moi avec des phrases bien senties… Merci, Sadie, de m’avoir immunisé. J’ai tenté une fois de le laisser tranquille. J’ai tenu cinq journées entières, après, c’était trop. Et quand je suis retourné vers lui, j’ai eu l’impression que ça avait été un peu dur pour lui aussi. Moui, bon, c’est encore permis de rêver, hein. Je préfère pas qu’il rencontre un jour ma sœur, elle pourrait lui donner un moyen de m’éviter. Je survivrais pas si je devais le perdre, lui. J’en peux rien, c’est comme ça, je… Je suis amoureux de lui. Je sais bien que c’est pas le garçon le mieux choisi pour répondre à des sentiments pareils, d’ailleurs, c’est pour ça que je reste calme et que je ne fais ni ne dit des choses trop déplacées. Mais je résisterai jamais à lui faire un câlin – je finirai sans doute par plus résister à rien, au final, mais bon. De toute façon, il faudra bien un jour que je lui avoue tout ça. En espérant qu’il le prenne trèèès bien.

    Et puis il y a eu ce tremblement de terre. Je me rappelle bien que j’avais le visage enfoui dans un coussin et que je me collais à Benjamin à cause des films d’horreur qu’on visionnait. A la première secousse, je m’étais jeté sur lui… Et le vide absolu, pour après se retrouver en… 1950. Ce n’est pas drôle, du tout. Au moins, Ben est avec moi, alors ça va déjà mieux. C’est rassurant, très, très, très rassurant. Voilà tout. Par contre, je sais pas comment je vais m’en sortir dans ce monde-là, j’ai jamais été privé de quelque chose, moi. J’avais qu’à demander et on m’amenait l’univers sur un plateau d’argent. Là… J’ai pas de carte de crédit. Nada. Et le pire, le pire, c’est que moi qui ait toujours totalement assumé d’être gay, dans les années cinquante, c’est tellement mal vu que… J’vais devoir baisser les yeux et longer les murs pour pas me faire remarquer. Mais, attendez, JE FAIS COMMENT POUR MON IDYLLE NAISSANTE (ou inexistante, je vous l’accorde) AVEC BENJAMIN D’AMOUR ?
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